Faculty
French Studies
Supervisor Name
Dr. Servanne Woodward
Description
En travaillant à décoloniser le récit sino-canadien et à envisager les différents aspects de la culture chinoise qui ont façonné le développement de l’identité sino-canadienne, on peut trouver des éléments essentiels à ces aspects dans le commerce d’importation de thé chinois par les voies britanniques et dans l’exportation canadienne-française de ginseng canadien vers la Chine.
Le développement du commerce du thé entre la Chine et le Canada (La Grande-Bretagne a servi d’intermédiaire) a reflété l’expérience historique des Canadiens d’origine chinoise à bien des égards. Par exemple, le monopole britannique sur les importations de cette marchandise au Canada suit des politiques tout aussi restrictives sur l’immigration chinoise comme The Chinese Immigration Act. Cela annonçait également la progression de l’inclusion des Canadiens d’origine chinoise dans l’ensemble du tissus culturel canadien.
D’une manière similaire, la « découverte » de la plante de ginseng, une plante indigène au Canada suivie de sa commercialisation en un produit exporté en Chine a mis en évidence la relation entre la Nouvelle-France (le futur Québec), la France elle-même, la Chine—ce qui a impliqué des autochtones. La notoriété du ginseng canadien reflétaient les attitudes de l’époque envers les biens et les ressources du Nouveau Monde et la façon dont les connaissances autochtones étaient perçues.
Cette recherche vise à s’appuyer sur des études antérieures en documentant l’influence des composantes chinoises sur l’identité canadienne en mettant en évidence les influences de divers commerces, principalement le thé et le ginseng, mais aussi des différents marchandises artistiques qui étaient valorisés à l’époque.
Acknowledgements
This independent study grew out of my archival research concerning the reception of Sarah Bernhardt in London, Ontario and in Montréal, research led by Dr. Geneviève De Viveiros and Dr. Servanne Woodward, both professors in the Department of French Studies at the University of Western [Ontario].
Creative Commons License
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Document Type
Poster
Included in
L’élément chinois de l’identité canadienne : un commerce initial impliquant le thé et le ginseng
En travaillant à décoloniser le récit sino-canadien et à envisager les différents aspects de la culture chinoise qui ont façonné le développement de l’identité sino-canadienne, on peut trouver des éléments essentiels à ces aspects dans le commerce d’importation de thé chinois par les voies britanniques et dans l’exportation canadienne-française de ginseng canadien vers la Chine.
Le développement du commerce du thé entre la Chine et le Canada (La Grande-Bretagne a servi d’intermédiaire) a reflété l’expérience historique des Canadiens d’origine chinoise à bien des égards. Par exemple, le monopole britannique sur les importations de cette marchandise au Canada suit des politiques tout aussi restrictives sur l’immigration chinoise comme The Chinese Immigration Act. Cela annonçait également la progression de l’inclusion des Canadiens d’origine chinoise dans l’ensemble du tissus culturel canadien.
D’une manière similaire, la « découverte » de la plante de ginseng, une plante indigène au Canada suivie de sa commercialisation en un produit exporté en Chine a mis en évidence la relation entre la Nouvelle-France (le futur Québec), la France elle-même, la Chine—ce qui a impliqué des autochtones. La notoriété du ginseng canadien reflétaient les attitudes de l’époque envers les biens et les ressources du Nouveau Monde et la façon dont les connaissances autochtones étaient perçues.
Cette recherche vise à s’appuyer sur des études antérieures en documentant l’influence des composantes chinoises sur l’identité canadienne en mettant en évidence les influences de divers commerces, principalement le thé et le ginseng, mais aussi des différents marchandises artistiques qui étaient valorisés à l’époque.