FIMS Publications
Document Type
Article
Publication Date
2011
Volume
35
Issue
1
Journal
The Canadian Journal of Information and Library Science
First Page
1
URL with Digital Object Identifier
https://doi.org/10.1353/ils.2011.0006
Last Page
16
Abstract
Abstract: Libraries collect personal information from users and link that information to internal library records. Although they fiercely protect the privacy of their patrons, libraries cannot ensure that personal information will remain confidential. Patrons must therefore have sufficient information to make informed decisions about release of personal data. Privacy notices are the accepted mechanism for providing this information. Our study demonstrates, however, that Ontario public libraries rarely provide notice to patrons regarding information collection and use. Smaller libraries and those without MLS trained staff are less likely to provide notice, suggesting that resources and/or staff training may contribute to this lack. We suggest that national or provincial organizations may want to support libraries in the development of privacy policies.
Résumé
Les bibliothèques recueillent des renseignements personnels sur leurs usagers et relient ces renseignements à leur fiche client. Bien qu'elles protègent rigoureusement la vie privée de leurs usagers, les bibliothèques ne sont pas nécessairement en mesure d'assurer la confidentialité des renseignements personnels qui leur sont fournis. Les usagers doivent donc être en possession de suffisamment d'information pour prendre des décisions éclairées concernant les renseignements qu'ils fournissent. La distribution d'avis concernant la confidentialité est la façon acceptée de fournir cette information. Notre étude démontre cependant que les bibliothèques publiques ontariennes fournissent rarement à leur clientèle des avis concernant la collecte et l'utilisation des renseignements [End Page 1] personnels. Dans les bibliothèques de taille modeste et celles ne disposant pas de personnel titulaire d'une formation (maîtrise) en sciences de l'information, il est encore moins probable que cet avis soit donné, cette lacune étant probablement liée aux ressources dont elles disposent et à la formation de leur personnel. Nous suggérons que les organisations nationales ou provinciales étudient la possibilité de soutenir les bibliothèques dans le développement de politiques concernant la vie privée.