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Abstract

La nature, l’intensité et la direction des mouvements migratoires des Premières Nations (Indiens inscrits et non-inscrits) sont le reflet d’inégalités entre leurs communautés, mais aussi avec la population canadienne non-autochtone. Ainsi, la mobilité résidentielle est la forme la plus fréquente de migration chez les Premières Nations, soit au sein d’une même communauté ou dans un centre urbain, alors que les migrations interprovinciales et internationales sont marginales. L’effet net des flux migratoires des Indiens inscrits favorise nettement les réserves, plutôt que les régions rurales ou urbaines. L’amélioration des conditions de vie et le sentiment d’appartenance à une communauté expliquent le plus souvent les migrations des Indiens. Ces migrations peuvent parfois servir ou porter préjudice aux communautés.

Bibliographic Notes

Ce dossier de politique fut rédigé par les auteurs de Document de travail.

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